A Monaco comme partout en Europe la précarité progresse et submerge la vie des plus démunis.
A Monaco, comme ailleurs, dans le privé comme dans le public, se développe le cancer des contrats à durée déterminée, du travail intérimaire, des suppléances, des astreintes, des vacations, des extras, du temps partiel subi,…
A Monaco, pire qu’ailleurs, le patronat et l’État, ont fait du licenciement sans motif la pire arme jamais inventée pour fragiliser le contrat à durée indéterminée et la situation de chaque salarié !
Nous, soussignés, nous engageons contre toute forme de précarité, pour une limitation stricte de l’usage des contrats précaires dans la loi du secteur privé et dans les statuts des services publics et de la Fonction Publique, et nous agissons plus particulièrement pour l’obligation légale de motiver tout licenciement, conformément au respect de la dignité du salarié et des recommandations de toutes les organisations internationales de droits de l’Homme.